La situation d'attente n'est pas à la baisse dans les lignes des pompes à essence malgré la livraison du carburant sur le marché local, qu'est-ce qui pourrait bien être à l'origine? Est-ce un manque de volonté de vente chez les compagnies?
La hausse des prix de carburant entraîne la panique chez les agents pourtant l'État continue à prononcer aux firmes du secteur de vendre le carburant au prix-dit normal en s'assurant l'ajout du manque. Pourtant l'État ne fait que s'endetter envers ces dernières, il manque à ses obligations.
Ainsi les compagnies placent leur propre commande et n'ont pas le même niveau de livraison ce qui résulte de la vente que certaines en font au large et d'autres au rationnement. 257000 barils est la quantité commandée qui ne peut satisfaire pour deux semaines en fonction de la consommation de ce produit.
Est-ce que d'autres commandes sont déjà prévus pour réduire cette situation alors qu'à l'ouverture des classes le transport des écoliers doit être bien assuré? Est-ce qu'il y aura une modification de la politique fiscale de l'État afin de régler à temps ses dettes? Est ce qu'il continuera la subvention sur le marché ou laissera-t-il aux compagnies le choix du prix de vente en fonction de l'achat sur le marché international? C'est un sujet qu'il faut bien suivre en tant que contribuable.
Rédactrice - Economiste
08/09/19 0 430 0
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