On pourrait souhaiter réaliser les vœux de bannir cet acte mais la tradition le retient là.
Aujourd'hui, près de 29 Pays d'Afrique, du Moyen Orient et d'autres encore comme l'Irak, l'Inde, le Pakistan... ont la pratique, malgré il n'y a aucune preuve écrite qui l'affirme. L'excision est l'ablation de la partie externe prépondérante du clitoris et de son capuchon, c'est aussi l'ablation de la petite lèvre, la suture de la grande lèvre du vagin. Cela se pratique dans les communautés religieuses musulmanes.
À l'époque ancienne, beaucoup de filles d'Afrique trouvaient la mort en l'absence totale des innovations modernes médicales. La responsable se servait de son lame pour couper la partie de la fille (trop jeune, en Somalie ça commençait à 10ans) et inondée de sang, infectée, la survie n'a pas été au rendez-vous.
Une coutume qui fait mal car après avoir été cousue, même trop cousue parfois, uriner n'était pas facile. Et lors des règles, vue l'empêchement du sang de couler, les filles avaient de très fortes douleurs, lors de l'accouchement le bébé avait le risque d'être étouffé en difficulté de sortir de la mère, et les deux risquaient le danger de mort.
En dépit de tout, l'excision aide l'homme de contrôler la sexualité de sa femme, cela rend pure et saine à l'œil. Beaucoup de femmes ont revendiqué la pratique en se confiant à leur gynéco mais cela se fait une fois pour toute et montre que les femmes ne sont pas toutes les mêmes dans la partie génitale.
Rédactrice - Economiste
24/09/19 0 421 0
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