Depuis quelques temps, la situation oblige que les réseaux sociaux constituent un véritable thermostat de l’actualité. Que l’usage qui en est fait soit excessif ou réfléchi, un fait demeure, que la communication en est plus accessible, plus rapide et peut-être plus participative. Rares sont les sujets brulants qui ne sont pas abordés sur le net. La panoplie des options possibles laisse à tout un chacun la plateforme qui lui conviendrait le mieux. Après tout à chacun son goût.
Plus récemment, on s’en rappelle de l’impact qu’a joué l’internet ou disons les Réseaux Sociaux dans le mouvement Pétro-Challenger. Photos, commentaires, affiches et slogans ont su enflammer la toile pour ensuite comme une trainée de poudre soulever des consciences pour passer du virtuel au réel. On s’en limite à cet aspect des choses, ce constat a su gagner bien de volontaires.
Puis, il y avait toujours eut internes, d’autres circonstances se sont produits et au décompte : NADA
Nos cœurs ne se prêtaient plus au jeu, on a beau nous servir le même menu. Pas la même soupe tout de même, mais il y avait plus de feux à nos propres, on s’enlisait dans un quotidien de plus en plus grabataire, mais à réactif, consenti, avachi.
Nos choix de combats sont pour le moins tendancieux contradictoires, dangereux, car à l’insu de ce qu’on peut voir, c’est cette perversion sournoise qui s’y installe, s’exile pour finir par s’exploser, nous éclaboussant tous de scandales de plus en plus réprobatrices.
De récents événements survenus touchant aux mœurs semblent vouloir susciter un certain éveil. Chacun garde ses cartes, jaugent l’adversaire pour peut-être obtenir gain de cause, à chacun son constat, n’empêche que dans notre état actuel, nos constats devraient être permanents – vrais – cohérents, et non sectaires et intéressés.
Le pourquoi de nos constats définis notre choix d’être, qui sait, peut-être que ça nus dérange moins d’être en guenilles que de nous savoir en compagnie de travestis.
Rédacteur
13/07/20 0 409 5
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