Participer à un projet collectif, reste en soi un choix consenti, un engagement personnel dont les motivations peuvent être multiples.
Si l’on doit compter tout ce fait partie intégrante de notre patrimoine culturel, il en va sans conteste que nous avons un amour pour le football. La passion qui en découle de ce sport ne saurait en manquer d’illustrations à la fois admirables que regrettables, des manifestations que prennent nos réactions quand nos cœurs sont emballés.
On oublie assez souvent de voir ou de jouer au football comme étant un jeu d’ensemble, un jeu d’association. Comme dirait d’autres, pour le réduire à sa plus simple expression, on le désacralise alors de tout ce qu’il aurait pu enseigner pour nous contenter d’en faire de notre fanatisme en nous montrant assez souvent mauvais joueurs ou mauvais perdants.
Participer au changement, comme celui de vouloir apporter sa touche à un projet collectif louable, est aussi un choix. Et le choix peut se porter sur plusieurs aspects du quotidien, car il y a toujours ce besoin perpétuel de changer quelque chose, de créer quelque chose, de faire partie de quelque chose bien plus grand que soi.
L’apologie faite tout au dut du caractère collectif du jeu d’ensemble interpelle ce manque à gagner qui sévit dans le monde d’aujourd’hui, où l’on s’acharne à détruire le collectif aux dépens du personnel. Certaines fois, et même bien trop souvent, le collectif est réduit à un particulier subtilement, sournoisement. On préconise comme c’est désormais ancré dans notre moi instinctif que la réussite st personnelle ou individuelle.
Le chacun pour soi, est la règle d’or de vie, et on s’étonnera ensuite que l’échec est sans cesse renouvelé comme si les mêmes causent ne produisaient plus les mêmes effets.
Il y en a certains qui ont ce goût pour les changements de grande envergure, où il faut tout casser au plus vite, tout chambouler, tout déchouquer. Il semble exister d’autres, plus méticuleux, plus calculateurs. N’empêche que dans les deux cas, on s’entend qu’un changement est inévitable et salvateur.
Alors préparez-vous à nous accompagner dans ce changement, car bientôt,
Rédacteur
22/06/20 0 373 5
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